La technique pour être maître de ses pensées

By yvounet | Ce que vous serez

Avr 26

Vous allez apprendre à transformer vos pensées pour augmenter le taux de pensées positives.

Les bénéfices

Les pensées négatives sont à l’origine de biens des maux. De transformer ses pensées diminuent angoisse, stress et autres émotions limitantes. Cela permet en plus d’atteindre une plus grande sérénité dans l’esprit.

Vous allez reprendre le pouvoir sur vos pensées et les guider sans les laisser vous mener une vie difficile.

Votre entourage va rapidement s’apercevoir de ce changement, et vous allez même rayonner votre sérénité chez les autres. Plutôt que de vous plaindre, votre famille, vos amis, vos collègues vont envier votre plus belle vision de la vie.

En même temps, vous aurez le sentiment d’avoir monté d’un cran dans l’échelle de l’évolution. Vous allez passer au-dessus de bien des choses limitantes pour vous inscrire dans une nouvelle dynamique.

Le temps limité

La méthode utilise le principe du temps limité. Cette méthode naturelle est adaptée pour parvenir à transformer ses pensées avec la technique des 3 R. (Repérer, Retoucher, Renouveler).

Il s’agit de transférer le temps passé aux pensées négatives à le consacrer à des pensées positives. Le temps de chacun est de 24h dans une journée. Chaque moment de la journée, les pensées passent, de différentes natures.

A chaque instant, il ne peut y avoir que trois types de pensées : négatives, neutres ou positives. Une autre façon de voir les trois types de pensées peut être : limitantes, neutres ou aidantes. Une troisième vision des trois types de pensées est : ce que je ne veux pas, neutres, ce que je veux.

Le technique des 3 R

Voyons maintenant la technique des 3 R : Repérer, Retoucher et Renouveler.

Le premier temps est de repérer les pensées négatives. Rappelez-vous que ces pensées ont trois manières de s’exprimer : une pensée négative, une pensée limitante, une pensée de ce que vous ne voulez pas. Voici un exemple des trois pensées :

La pensée négative : « je ne mérite pas d’être heureux »

La pensée limitante : « je suis nul »

La pensée de ce que vous ne voulez pas : « je ne veux plus être anxieux »

Le second temps est de retoucher ses pensées. Le cerveau a besoin de progressivité dans le changement lorsqu’il s’agit d’habitude profonde dont la cause n’est pas connue, ou dont la cause est trop étendue. Les pensées limitantes viennent de l’enfance, par des paroles d’adultes (parents et système éducatif) trop souvent répétées. Il n’y a pas de mauvaise intention à la base. Le cerveau enregistre tout simplement ce qu’il entend. Et plus c’est entendu, plus la mémoire est renforcée. Et sur une mémoire forte, introduire l’opposé est avec trop peu d’effet. Par exemple, passer de « je ne mérite pas d’être heureux » à « je mérite d’être heureux » n’est pas crédible par le cerveau.

C’est là que la retouche intervient. Cela se fait en introduisant des mots qui limite la pensée négative dans l’espace ou dans le temps. Cette limite, faible au début, peut s’agrandir au fur et à mesure. Par exemple :

Pensée négative : « je ne mérite pas d’être heureux » devient : « dans l’ensemble, je ne mérite pas d’être heureux ».

Pensée limitante : « je suis nul » devient : « dans certains domaines, je suis nul ».

Pensée de ce que vous ne voulez pas : « je ne veux plus être anxieux » devient : « cela m’arrive d’être anxieux ».

Le troisième temps est de renouveler les pensées. Cela se fait en utilisant un terme utilisé dans une phrase affirmative avec une limite dans le temps et dans l’espace. De la même manière, cette limite est élargie de plus en plus au fil du temps. Par exemple :

Pensée négative : « régulièrement, je ne mérite pas d’être heureux » devient « à certains moments, je mérite d’être heureux ».

Pensée limitante : « dans certains domaines, je suis nul » devient « il y a des domaines où je suis compétant ».

Pensée de ce que vous ne voulez pas : pour ces pensées, vous allez définir ce que vous voulez. Les possibilités sont beaucoup plus larges. « Cela m’arrive d’être anxieux » devient, par exemple : « je suis de plus en plus calme ».

Mettez en pratique

Vous avez pu voir un exemple d’évolution des pensées dans chacune des trois facettes, négative, limitante et ce que vous ne voulez pas, qui vont vers des pensées positives, étendues et ce que vous voulez.

Le mieux est de noter de temps en temps les pensées qui passent et que vous ressentez comme dans une des trois facettes. C’est le Repérage. Prenez le temps pour Retoucher ces pensées sur le papier afin que les phrases associées aux pensées vous soient tolérables. Si une phrase ne vous convient pas, retouchez-là à nouveau pour la rendre plus assimilable par le cerveau. Créez-en plusieurs, à différents degrés. Jusqu’à ce qu’il vous soit possible de Renouveler ces pensées.

Voici une liste de mots pour limiter dans le temps et dans l’espace :

Un peu, petit à petit, parfois, de temps en temps, il m’arrive, régulièrement, quelque fois, le matin seulement, uniquement quand je suis en train de faire, dans telle activité, souvent, presque tout le temps, à intervalle régulier, en été, en hiver, etc….

Et ensuite

Il est important de ne pas aller trop vite. Mettez de la progressivité dans l’évolution de vos pensées.

Au fur et à mesure, vous allez vous rendre compte que les pensées vont être naturellement positives, larges et dans ce que vous voulez. Cela deviendra un automatisme inconscient.

Et pensez bien que de l’intérieur, la transformation sera plus efficace !

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